du Collège des Bernardins
À un rythme imprévisible, des œuvres plus ou moins discrètes apparaissent et disparaissent dans le Collège des Bernardins : elles prennent la forme de questions posées par les artistes à la société d’aujourd’hui. Elles sont, le temps d’une apparition, des objets qui mettent en cause notre rapport au monde et révèlent le rôle des artistes, véritables inventeurs de comportements nouveaux.
À un rythme imprévisible, des œuvres plus ou moins discrètes apparaissent et disparaissent dans le Collège des Bernardins : elles prennent la forme de questions posées par les artistes à la société d’aujourd’hui. Elles sont, le temps d’une apparition, des objets qui mettent en cause notre rapport au monde et révèlent le rôle des artistes, véritables inventeurs de comportements nouveaux.
Du 12 octobre au 18 décembre 2011
Œuvre présentée dans le cellier
Œuvre présentée dans le cellier
Concevoir des modèles mathématiques pour exprimer nos relations aux êtres et aux mondes, tel est le projet de Laurent Derobert, docteur en philosophie et chercheur en mathématiques.
Il projette sur les murs chargés d’histoire du Collège des Bernardins une poésie formulée comme une équation mathématique établie à partir de son ouvrage Fragments de mathématiques existentielles (2010). Transformant des propositions philosophiques en données scientifiques, il pose les calculs de la recherche de l'être aimé.
Source :
http://www.collegedesbernardins.fr/index.php/art/arts-plastiques/alerte-laurent-derobert.html
Il projette sur les murs chargés d’histoire du Collège des Bernardins une poésie formulée comme une équation mathématique établie à partir de son ouvrage Fragments de mathématiques existentielles (2010). Transformant des propositions philosophiques en données scientifiques, il pose les calculs de la recherche de l'être aimé.
Source :
http://www.collegedesbernardins.fr/index.php/art/arts-plastiques/alerte-laurent-derobert.html
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